Je me présente, Corinne Esposito, j’ai 49 ans. Je vis dans une banlieue en totale immersion avec sa population d’origines et de situations sociales diverses. Je suis touchée par les différences humaines.
Très jeune, je fais des portraits au crayon. Je suis fascinée par ce qu’un visage confie.
Par la suite je peins sur du grand format, pour décorer ma société de l’époque, mon patron pour mécène.
Dans cette même entreprise (un péage) en « photodidacte passionnée » pour utiliser un néologisme qui me tient à cœur, je fais des portraits d’usagers, ces passages furtifs, seront mon voyage humain pendant 17 ans. « Un amour de péage » sera le nom de ma série.
Depuis, toujours aussi curieuse, j‘ai pris de l’assurance, je prends des photos de modèles mais toujours sur le vif afin de respecter ce qu'ils sont. Dans la rue, ma vue s’est aiguisée, mon envie de partager amplifiée. Tout est devenu jeu photographique. Je vais vers les gens, inspirée par un lieu, par la rue. Mon appareil photo ne me quitte pas. La pensée et l’action lors du déclenchement sont inséparables. L’instinct orchestre, les doigts obéissent.
Pour résumer... Les gens depuis toujours me passionnent, ils m’inspirent, je les aime, ils le savent, je ne sais l’expliquer, l’alchimie se produit. On est sincère, on se fait confiance.
Merci de vous arrêter sur mes photos, c est à vous de les terminer ...
Très jeune, je fais des portraits au crayon. Je suis fascinée par ce qu’un visage confie.
Par la suite je peins sur du grand format, pour décorer ma société de l’époque, mon patron pour mécène.
Dans cette même entreprise (un péage) en « photodidacte passionnée » pour utiliser un néologisme qui me tient à cœur, je fais des portraits d’usagers, ces passages furtifs, seront mon voyage humain pendant 17 ans. « Un amour de péage » sera le nom de ma série.
Depuis, toujours aussi curieuse, j‘ai pris de l’assurance, je prends des photos de modèles mais toujours sur le vif afin de respecter ce qu'ils sont. Dans la rue, ma vue s’est aiguisée, mon envie de partager amplifiée. Tout est devenu jeu photographique. Je vais vers les gens, inspirée par un lieu, par la rue. Mon appareil photo ne me quitte pas. La pensée et l’action lors du déclenchement sont inséparables. L’instinct orchestre, les doigts obéissent.
Pour résumer... Les gens depuis toujours me passionnent, ils m’inspirent, je les aime, ils le savent, je ne sais l’expliquer, l’alchimie se produit. On est sincère, on se fait confiance.
Merci de vous arrêter sur mes photos, c est à vous de les terminer ...